On les reconnaît de loin. Ces enveloppes timbrées, libellées d’une écriture sèche et orageuse. Avec dans le trait quelque chose d’une colère à peine contenue, d’un esprit chevaleresque aussi. Car qu’est-ce qui pousse le lectorat d’une rédaction à lui écrire sinon ceci : la révolte.